C'est aspiré par une onde virtuelle
Que le tourbillon l'avala, elle,
Et c'est un monde onirique qui l'accueilla
La demoiselle enfin rêva.
Cet étrange univers presque coton
L'enveloppa d'un charme rond
Comme les bras tendres et accueillants
D'un homme surement charmant
Elle s'y promena à la nuit tombée
Ce pays était fait de baisers
Mais aussi de regards et de rires
Etrange monde que celui-ci!
Elle y fit la rencontre perché sur un drap
D'un gars à l'air sympa
Il s'appelait, à t il dit, Plaisir
Elle fit sa connaissance en un sourire
Puis plus tard lorsque la volupté des lieux
Eu fini de troubler ces yeux
Elle retrouva les bras tendres
De cet homme surement charmant
Cette histoire sans fin lui a bien plu
Une histoire où la fin ressemble au début
Elle retournera un jour se promener
Dans ce monde de baisers et d'éternité.
vendredi 22 février 2008
Alice a grandi
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