En fatigue, progresse doucement
S'insinue sous ma peau, gisant.
Maux de tête, tranchant
Couteau lacère, sournoisement
Le corps avance pourtant.
Mes pas précèdent le couloir
Semble posséder sans avoir
Sans penser encore y croire
Ne plus trouver comment sortir
De cet esprit, pour retenir
Une cage dorée et trop mentir.
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