Je me prélasse dans notre virtuel
Et griffant mes mots sur sa chair.
Je brule mon instant de touches carrées
A en faire fondre le plastique.
Je lâche ma cendre sur ces rêves,
Consume sa vie, je tire.
Fantasmes écrasés sous mes talons affutés,
Il n’en restera rien sous le goudron.
Entreposer, sous mes yeux crus,
Il succombe aux flammes barbares
De mon enfer de draps rouges.
Il accepte le supplice,
Je prends mon temps et le marque au fer.
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